Les nouveautés du mois de mars 2018
Milena AGUS "Terres promises", traduit de l'italien par Marianne Faurobert, éditions Liana Levi, 176 p
En Sardaigne d'où elle tire ses racines maternelles, l'héroïne prénommée Felicita découvre le communisme avant de tomber amoureuse d'un noble et de donner naissance à un fils, Gregorio. Une manière pour Milena Agus de célébrer une nouvelle fois sa terre sarde. Mais ce roman est aussi une saga familiale entre Cagliari, Gênes et New York.
Isabelle CARRE "Les rêveurs", éditions Grasset, 304 p
La comédienne publie cette année “Les rêveurs”, son premier livre qui commence comme un roman et s'achève plutôt comme un récit autobiographique. Isabelle Carré raconte son enfance et son adolescence dans les années 70, ses difficultés à grandir entre des parents mal unis. Et comment ses rôles au cinéma sont devenus un refuge.
Philippe CLAUDEL "L'archipel du chien", éditions Stock, 276 p
Philippe Claudel nous emmène sur une île au large de l’Afrique qui semble à l'écart des fracas du monde. Mais la découverte de trois corps sur la plage. fait basculer l'existence de la poignée d'habitants qui vivent sur l'île. "J’ai imaginé L’Archipel du chien comme un roman de mystère, un récit haletant et oppressant, une épopée moderne", explique l’auteur dans une note confiée à son éditeur.
Joël DICKER "La disparition de Stéphanie Mailer", éditions De Fallois, 640 p
30 juillet 1994. Orphea, petite station balnéaire tranquille des Hamptons dans l'État de New York, est bouleversée par un effroyable fait divers: le maire de la ville et sa famille sont assassinés chez eux, ainsi qu'une passante, témoin des meurtres. L'auteur de La Vérité sur l'affaire Harry Quebert publie un nouveau roman gigogne dans lequel l'enquête sur un crime mal résolu rebondit vingt ans après.
Louise ERDRICH "LaRose", traduit de l'anglais (USA) par Isabelle Reinharez, éditions Albin Michel, 514 p
Une balle perdue en pleine nature scelle le destin croisé de deux familles déjà liées, mais qui auront désormais en commun ce drame indicible qui est la perte brutale d'un enfant. Comment pardonner l'impardonnable ? Une plongée au cœur d'une communauté indienne après la mort accidentelle d'un jeune garçon.
Lisa GARDNER "Lumière noire", traduit de l'anglais (USA) par Cécile Deniard, éditions Albin Michel 512 p
Flora est une survivante. Elle a passé 472 jours en captivité, la plupart du temps enfermée dans un cercueil. Son kidnappeur l'a affamée afin d'en faire sa chose. Après avoir retrouvé miraculeusement sa liberté, elle donne l'impression de vouloir revenir à une existence normale. Pourtant, les murs de sa chambre sont tapissés de photos de filles disparues. Quand, à la recherche de l’une d’elles, Flora se fait de nouveau kidnapper, le commandant D.D. Warren comprend qu’un prédateur court les rues de Boston, qui s’assurera cette fois que Flora ne revoie jamais la lumière...
Camilla GREBE "Le journal de ma disparition", traduit du suédois par Anna Postel, éditions Calman-Lévy, 450 p
Erri de LUCA "Une tête de nuage" traduit de l'italien par Cécile Valin, éditions Gallimard, 104 p
Ce nouveau livre d’Erri De Luca s’inscrit dans le pan de son œuvre consacré à la relecture de la Bible. Il nous propose cette fois une redécouverte de la Nativité. Miriàm et Iosèf se sont rencontrés en Galilée et vont se marier à Nazareth. Quand la jeune femme annonce à son fiancé qu’elle attend un enfant dont il n’est pas le père, Iosèf ne la dénonce pas aux autorités comme la loi le prescrit. Il croit en sa parole, aussi invraisemblable soit-elle... Structuré en trois actes, le texte assume une forme dramatique parcourue par des dialogues intenses, non dépourvus d'ironie.
Tatiana de ROSNAY "Sentinelle de la pluie", éditions Héloïse d'Ormesson, 368 p
Le nouveau roman de Tatiana de Rosnay associe le thème de la famille à un événement climatique dramatique : Paris enseveli sous les eaux. "J’ai toujours voulu écrire sur la crue de la Seine, cela m’a toujours fasciné" affirme l’écrivaine "et les familles m’intéressent, il m’a donc paru naturel de mettre en scène une famille qui s’aime mais qui est en panne de communication".
Jean-Christophe RUFIN "Sauver Ispahan", Collection Folio (n° 3394), Gallimard, 656 p, 2014 -don à la bibliothèque
Ce roman publié pour la première fois en 1998 raconte la suite des aventures de Jean-Baptiste Poncet, héros de l'Abyssin. Ce dernier a trouvé refuge à Ispahan, ville heureuse où il exerce son métier d'apothicaire, en compagnie de sa femme Alix et de leurs enfants. L'arrivée en ville d'un mystérieux inconnu va rompre la vie paisible de Jean-Baptiste et le précipiter, à la recherche d'un ami menacé, dans un périple aventureux vers le Caucase, les steppes de l'Oural, jusqu'aux redoutables khanats de l'Asie centrale.
Colombe SCHNECK "Les guerres de mon père", éditions Stock, 306 p
Gilbert Schneck était un brillant médecin à la joie de vivre affichée trop ostensiblement pour ne pas avoir sa part d'ombre. "Mon père était très aimé, je l'adorais (...) Il aimait la vie, les femmes, les beaux vêtements (...) et puis un jour ce monde enchanté s’effrite et donc il fallait que j'enquête sur ce qu'il cachait", confie l'auteure.
Danièle SERAPHIN "Le bal des canotiers", éditions Complicités, 365 p
Dans le village d’Auvers-sur-Oise, où le peintre Vincent van Gogh trouva la mort, Céleste vit seule dans la maison de sa mère. Grosse et laide, jardinière dans l’âme, elle mène une vie recluse, tandis que sa sœur jumelle, Anna est mannequin à Paris. Un jeune homme, un jour, la voit se baigner nue dans l’Oise. Il en tombe amoureux fou. Une idylle romantique naît. Lorsque reparaît la belle Anna…une histoire admirablement enchevêtrée, entre correspondance des frères Van Gogh et duel psychologique des deux sœurs jumelles, partagées entre l'être et le paraître, et que deux chemins de vie opposent.
En Sardaigne d'où elle tire ses racines maternelles, l'héroïne prénommée Felicita découvre le communisme avant de tomber amoureuse d'un noble et de donner naissance à un fils, Gregorio. Une manière pour Milena Agus de célébrer une nouvelle fois sa terre sarde. Mais ce roman est aussi une saga familiale entre Cagliari, Gênes et New York.
Isabelle CARRE "Les rêveurs", éditions Grasset, 304 p
La comédienne publie cette année “Les rêveurs”, son premier livre qui commence comme un roman et s'achève plutôt comme un récit autobiographique. Isabelle Carré raconte son enfance et son adolescence dans les années 70, ses difficultés à grandir entre des parents mal unis. Et comment ses rôles au cinéma sont devenus un refuge.
Philippe CLAUDEL "L'archipel du chien", éditions Stock, 276 p
Philippe Claudel nous emmène sur une île au large de l’Afrique qui semble à l'écart des fracas du monde. Mais la découverte de trois corps sur la plage. fait basculer l'existence de la poignée d'habitants qui vivent sur l'île. "J’ai imaginé L’Archipel du chien comme un roman de mystère, un récit haletant et oppressant, une épopée moderne", explique l’auteur dans une note confiée à son éditeur.
Joël DICKER "La disparition de Stéphanie Mailer", éditions De Fallois, 640 p
30 juillet 1994. Orphea, petite station balnéaire tranquille des Hamptons dans l'État de New York, est bouleversée par un effroyable fait divers: le maire de la ville et sa famille sont assassinés chez eux, ainsi qu'une passante, témoin des meurtres. L'auteur de La Vérité sur l'affaire Harry Quebert publie un nouveau roman gigogne dans lequel l'enquête sur un crime mal résolu rebondit vingt ans après.
Louise ERDRICH "LaRose", traduit de l'anglais (USA) par Isabelle Reinharez, éditions Albin Michel, 514 p
Une balle perdue en pleine nature scelle le destin croisé de deux familles déjà liées, mais qui auront désormais en commun ce drame indicible qui est la perte brutale d'un enfant. Comment pardonner l'impardonnable ? Une plongée au cœur d'une communauté indienne après la mort accidentelle d'un jeune garçon.
Lisa GARDNER "Lumière noire", traduit de l'anglais (USA) par Cécile Deniard, éditions Albin Michel 512 p
Flora est une survivante. Elle a passé 472 jours en captivité, la plupart du temps enfermée dans un cercueil. Son kidnappeur l'a affamée afin d'en faire sa chose. Après avoir retrouvé miraculeusement sa liberté, elle donne l'impression de vouloir revenir à une existence normale. Pourtant, les murs de sa chambre sont tapissés de photos de filles disparues. Quand, à la recherche de l’une d’elles, Flora se fait de nouveau kidnapper, le commandant D.D. Warren comprend qu’un prédateur court les rues de Boston, qui s’assurera cette fois que Flora ne revoie jamais la lumière...
Camilla GREBE "Le journal de ma disparition", traduit du suédois par Anna Postel, éditions Calman-Lévy, 450 p
Il y a huit ans, la jeune Malin, alors adolescente, a découvert une
fillette enterrée dans la forêt de Ormberg, une ville suédoise isolée.
On n’a jamais pu identifier la petite victime. Devenue
une jeune flic ambitieuse, Malin est affectée auprès de Hanne, la
célèbre profileuse, et de l’inspecteur Peter Lindgren, qui reprennent
l’affaire. Mais Peter disparaît du jour au lendemain, et Hanne est
retrouvée blessée et hagarde dans la forêt...
Erri de LUCA "Une tête de nuage" traduit de l'italien par Cécile Valin, éditions Gallimard, 104 p
Ce nouveau livre d’Erri De Luca s’inscrit dans le pan de son œuvre consacré à la relecture de la Bible. Il nous propose cette fois une redécouverte de la Nativité. Miriàm et Iosèf se sont rencontrés en Galilée et vont se marier à Nazareth. Quand la jeune femme annonce à son fiancé qu’elle attend un enfant dont il n’est pas le père, Iosèf ne la dénonce pas aux autorités comme la loi le prescrit. Il croit en sa parole, aussi invraisemblable soit-elle... Structuré en trois actes, le texte assume une forme dramatique parcourue par des dialogues intenses, non dépourvus d'ironie.
Tatiana de ROSNAY "Sentinelle de la pluie", éditions Héloïse d'Ormesson, 368 p
Le nouveau roman de Tatiana de Rosnay associe le thème de la famille à un événement climatique dramatique : Paris enseveli sous les eaux. "J’ai toujours voulu écrire sur la crue de la Seine, cela m’a toujours fasciné" affirme l’écrivaine "et les familles m’intéressent, il m’a donc paru naturel de mettre en scène une famille qui s’aime mais qui est en panne de communication".
Jean-Christophe RUFIN "Sauver Ispahan", Collection Folio (n° 3394), Gallimard, 656 p, 2014 -don à la bibliothèque
Ce roman publié pour la première fois en 1998 raconte la suite des aventures de Jean-Baptiste Poncet, héros de l'Abyssin. Ce dernier a trouvé refuge à Ispahan, ville heureuse où il exerce son métier d'apothicaire, en compagnie de sa femme Alix et de leurs enfants. L'arrivée en ville d'un mystérieux inconnu va rompre la vie paisible de Jean-Baptiste et le précipiter, à la recherche d'un ami menacé, dans un périple aventureux vers le Caucase, les steppes de l'Oural, jusqu'aux redoutables khanats de l'Asie centrale.
Colombe SCHNECK "Les guerres de mon père", éditions Stock, 306 p
Gilbert Schneck était un brillant médecin à la joie de vivre affichée trop ostensiblement pour ne pas avoir sa part d'ombre. "Mon père était très aimé, je l'adorais (...) Il aimait la vie, les femmes, les beaux vêtements (...) et puis un jour ce monde enchanté s’effrite et donc il fallait que j'enquête sur ce qu'il cachait", confie l'auteure.
Danièle SERAPHIN "Le bal des canotiers", éditions Complicités, 365 p
Dans le village d’Auvers-sur-Oise, où le peintre Vincent van Gogh trouva la mort, Céleste vit seule dans la maison de sa mère. Grosse et laide, jardinière dans l’âme, elle mène une vie recluse, tandis que sa sœur jumelle, Anna est mannequin à Paris. Un jeune homme, un jour, la voit se baigner nue dans l’Oise. Il en tombe amoureux fou. Une idylle romantique naît. Lorsque reparaît la belle Anna…une histoire admirablement enchevêtrée, entre correspondance des frères Van Gogh et duel psychologique des deux sœurs jumelles, partagées entre l'être et le paraître, et que deux chemins de vie opposent.
Marc TREVIDIC "Le magasin jaune", éditions Jean-Claude Lattès, 315 p
Le roman raconte l'histoire d'un magasin de jouets et du couple qui le fait revivre sous l'occupation allemande. La barbarie, face au monde de l'enfance. Deuxième roman de l'ancien juge antiterroriste Marc Trévidic où l'on retrouve l'une des grandes préoccupations du magistrat : l'affrontement entre le bien et le mal.
Aurélie VALOGNES "Au petit bonheur la chance", éditions Mazarine, 342 p
Jean 6 ans , se retrouve confié à sa grand-mère, lors de la
séparation de ses parents, en 1968. Sa mère part à Paris pour trouver un
emploi et reviendra le chercher. Il se retrouve chez mémé Lucette, et
une formidable histoire d'amour va se dérouler entre ces deux êtres qui
vont apprendre à se connaître, à cohabiter et à s'aimer. Par l'auteur de Mémé dans les orties et d'En voiture Simone !